Le paysage dans l'idée d'une métaphore.

C'est une façon de rendre la géographie illisible afin de retirer de son incompréhension même un grand plaisir. Une forme de dérapage contrôlé et renouvelé sans cesse jusqu'à sa fin, telle une étoile du Nord.
Nous sommes des observateurs toujours à l'horizon, des vagabonds sur un plan d'immanence, sur fond de vitesse entre le rapide et le lent, toujours en attente d'un point de vue, garant de l'infini et fatalement plus fragile. Nous sommes l'étrange dans les temps qui se succèdent, là où les thermomètres et les horloges s'arrêtent. Loin de là, les ensembles actualisent la limite et les deux côtés sont valides.
Il y a alors une forme de récit pas tout à fait clos, ni achevé, une sorte de liaison dangeureuse ou bien la copie d'un brouillon et c'est là que l'on rencontre la biographie. C'est bien trop confortable. C'est la victoire de la bibliothèque sur la vraie vie...et pour une petite suite agréable : chute de neige ouvrant sur le vertige de l'anonymat.

100 moulages en plâtre. Surface totale : 280 x 280 x 100 cm
Une limite lointaine bien méritée, parce qu'elle m'a aidé à me tourner dans toutes les directions du monde pour y trouver ma propre voie de sortie. De tout l'air inspiré, j'ai retenu ma joie pour rire à plein poumon. J'ai fait ma vie comme j'ai lu la vie des autres et cela me demande une attention particulière.

Soit la vitesse de la lumière : 299 796 km/s.
Soit le zéro absolu : -273,15 degrés.

la limite...

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